|  | La psychothérapie est un accompagnement non médical qui s’adresse à toute personne en souffrance ou bien en simple quête de connaissance de soi, de développement personnel.
 
 Du soutien à la réflexion jusqu’à la psychothérapie profonde, le psychopraticien accompagne votre évolution dans un cadre professionnel et sécurisé.
 
 Plusieurs raisons peuvent motiver votre démarche :
 
              
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                    L’anxiété, le mal-être, un épisode dépressif, un blocage affectif, le sentiment de solitude, des difficultés relationnelles au sein du couple, de la famille, du travail, ou de tout autre réseau social.
 
 On trouve ensuite des causes liées à des épreuves telles que la maladie, les difficultés de conception, la séparation, le deuil, l’épuisement professionnel, le burn-out, les troubles alimentaires, etc.
 
 Enfin, outre le désir d’être accompagné dans son processus de croissance et d’épanouissement, on relève des demandes relatives à des périodes clefs de la vie comme l’adolescence, la maternité, la ménopause, la retraite, etc.
 
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 En  s’appuyant avant tout sur l’écoute, mais aussi sur d’éventuelles techniques  complémentaires, le psychopraticien aide la personne à comprendre les problèmes  qui se posent à elle, à explorer les aspects méconnus de sa personnalité et se  les approprier, à développer ses propres ressources, son autonomie et trouver  des réponses par elle-même.En effet, l’un des principes fondamentaux de la psychothérapie est que le  praticien ne saurait avoir de projet pour son client car il appartient à la  personne seule de fixer ses objectifs.
 La qualité de la relation et la confiance qui s’établit entre le consultant et  le psychopraticien étant la condition-clé de la bonne marche de la  psychothérapie, il est indispensable que chacun s’engage pleinement dans le  processus (double engagement). Si, parfois, l’initiateur de la psychothérapie  n’est pas le client lui-même (médecin, psychiatre, parents), il est toutefois  primordial qu'il en perçoive la nécessité et s’y engage personnellement.
  S’il reste attentif aux signes d’une éventuelle maladie mentale, le  psychopraticien ne s’attache cependant pas au normal ou au pathologique dans sa  pratique. Il prend pour point de départ la relation qui s’établit avec son  client et s’appuie sur ce qui en émerge. Cependant, dans les cas de troubles  mentaux graves ou de problèmes d’addiction (alcool, drogue…) le praticien ne  peut agir seul et se doit de s’assurer que la personne est également suivie par  un psychiatre, un médecin ou tout autre professionnel habilité à dispenser les  soins et/ou médications nécessaires à l’amélioration de son état.  |  |